L’oro del Cammino : Ils disent et écrivent

Stefano Cecere 

Salvatore Cocozza

Les Grignoux – Facebook

(…) Je suis venu à l’avant première de L’oro del Cam(m)ino, la semaine dernière. Une tuerie! Bravo vraiment j’étais bluffé et scotché dans mon siège. La direction photo, le tempo, le sujet…

(Thibault Flament, réalisateur-producteur)

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(…) J’en profite pour vous remercier, Nathalie et vous, de nous avoir conviés à votre merveilleux film.
C’est un GRAND film, profondément humain et bouleversant, émouvant, très beau, et qui, dans notre période de crises, donne foi en l’humanité !
Plus que jamais, les artistes et leurs miroirs sont essentiels dans nos sociétés.
Vraiment MERCI d’avoir partagé cela avec nous.

(Olivier Soudon, médecin anesthésiste-réanimateur)

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Le emozioni, in tutto il loro spettro. A volte crude, dirette, eppure così umane. Napoli, il sottostrato, le racchiude e le amplifica. Le onde della costiera salvando hanno liberato il mostro. 
Allora facciamolo ballare e portiamolo in  cima al monte.
Là una madre così bambina trasformerà il mostro in poesia. Luci ed ombre del sottobosco si fonderanno in un’unica nebulosa. Ed in quella foschia, in una tempesta di granelli di sabbia, ci sarà una via di scampo.
Grazie per tutte le emozioni che trasmetti,

(Gaia Cavallo)

Les émotions, dans tout leur spectre. Parfois crues, directes, pourtant si humaines. Naples, le sous-sol, les renferme et les amplifie. Les vagues de la côte, en les sauvant, sauvant ont libéré le monstre.
Alors faisons-le danser et emmenons-le au sommet de la montagne.
Là, une mère si enfant transformera le monstre en poésie. Les lumières et les ombres des sous-bois se fondront en une seule nébuleuse. Et dans cette brume, dans une tempête de grains de sable, il y aura une échappatoire.
Merci pour toutes les émotions que vous transmettez,

(Gaia Cavallo)

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Bravissimi Turi Et Nathalie Rossetti, l’Oro del Cammino è un documentario umano, intelligente, sensibile e pronto a percorrere nuove strade dopo l’anteprima al Vendôme.

(Axilea M.U.)

Très bon Turi Et Nathalie Rossetti, l’Or du Chemin est un documentaire humain, intelligent, sensible et prêt à parcourir de nouvelles routes après l’avant-première au Vendôme.

(Axilea M.U.)

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Io e Fede volevamo farvi ancora i complimenti per il bellissimo film, siamo rimasti davvero colpiti dalla profondità e immensità dei personaggi e delle loro storie, dalle parole usate, dai movimenti dei corpi, dalle inquadrature della natura e dei paesaggi mozzafiato… veramente per me ogni scena è stata potentissima! Sono sicura che questo film farà grandi successi e vi regalerà tante soddisfazioni!
Grazie ancora per averci incluso in questo momento così importante.

(Gaia Durante-Magoni)

Fede et moi voulions encore vous féliciter pour le beau film, nous avons été vraiment impressionnés par la profondeur et l’immensité des personnages et de leurs histoires, par les mots utilisés, les mouvements des corps, les cadrages de la nature et les paysages à couper le souffle… vraiment pour moi chaque scène a été très puissante! Je suis sûre que ce film fera de grands succès et vous donnera beaucoup de satisfaction! Merci encore de nous avoir inclus en ce moment si important

(Gaia Durante-Magoni)

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Bonsoir Mme Rossetti et bonsoir Mr Finocchiaro,
Avant tout, je tenais à vous remercier de m’avoir conviée et invitée à partager ce moment important pour vous. J’ai eu autant de plaisir que d’intérêt à découvrir cette « pépite » dont les témoignages, et les silences aussi, retentissent encore. J’espère que votre travail trouvera la diffusion qu’il mérite, tant auprès du grand public que des professionnels concernés qu’il viendra toucher davantage que tout manuel théorique. 
Félicitations pour cette réalisation. Bien à vous, Françoise Cailleau

(Françoise Cailleau, psycothérapeute)

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Très chers,
Comme nous ne nous sommes plus revus après la représentation, je tiens maintenant à vous féliciter pour ‘l’oro del cammino” . Ce beau témoignage sur la résilience dans la vie.
Bravo pour la persévérance qui vous à permis de réaliser ce long métrage.
J’ai remarqué vos choix musicaux également : Poulenc, Schnittke … beau !
Continuez sur cette lancée, et je souhaite un beau succès à ce film.
Bien à vous

XM
Michel et André Mast, (Musicien et Médecin)

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Théa et moi, nous avons vu le film de ta sœur et beau-frère, Nathalie et Turi, et nous avons beaucoup apprécié. Tu les féliciteras de notre part.
Le film pose de belles questions sur les alternatives au milieu carcéral, et témoigne avec beaucoup d’authenticité de la résilience dont font preuve les personnes présentées dans le documentaire.
On a aussi apprécié la présence d’une certaine poésie dans les images et dans les échanges.
On souhaite un beau long chemin à ce film sincère et touchant.
Je t’embrasse.

(Anne-Lise et Théa – Enseignantes de Secondaires)

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…Quel beau message vous avez su faire transparaître dans ce film…quel superbe travail vous avez abattu…pour aboutir à ce trésor…bravo…a travers cet ouvrage, il y a tant d’amour….vous êtes de belles âmes……gros bisous

(Martine Wauters)

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Très cher cousin, encore merci à Nathalie et à toi pour l’invitation. Et toutes nos félicitations pour votre film. Superbes prises de vue et très beaux portraits des protagonistes, très sincères et émouvants. Votre film met en évidence la qualité de ces personnes, contrairement à l’idée que l’on pourrait se faire d’eux par rapport aux agissements qui les ont amenés à ce centre. Bravo à eux aussi.

(Alain et Rebecca Nacais-Wauters)

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Bonsoir Natha et Turi, 

je viens vous dire à tous deux combien votre film est étonnant, émouvant, navrant et porte à réfléchir. Vies gâchées qui semblent irrécupérables. Un retour dans la famille paraît impossible après le temps écoulé et les délits.  Ces hommes évoquent  un parcours sans  retour et la tentation est je crains toujours  présente. Tout cela est tragique et ils en sont  conscients.  De quel lendemain peuvent-ils espérer ?  Livrés à  eux-mêmes, seraient-ils capables de renoncer à  la drogue ? encore plus difficile à  s’en dégager. Ces personnes qui s’occupent d’eux sont extraordinaires. Merci à  tous deux pour cet intelligent et sensible sujet rarement évoqué de manière aussi vraie et sensible  en leur donnant la parole vous leur rendez leur estime de soi. Ce film devrait être diffusé d’autant plus que la drogue sévit en Belgique via le port d’Anvers et a causé de nombreux décès. Si vous pensez que ce serait bien, tant RTBF que autres TV ou personnes du gouvernement et ministre chargé de l’éducation etc..  Jeunesse ! il faudrait rendre ce film accessible d’autant plus que la violence s’installe actuellement. La salle était archi pleine et je pense que dans ce public, vous pourriez avoir des personnes pour réagir dans ce sens en les contactant. Écoles, associations, scouts, parents en difficultés, médecins, Psy..il faudrait rendre votre film accessible en contactant aussi des membres du gouvernement. Suis prête à  écrire ! Bonne nuit et merci  pour ce beau témoignage

(Béatrice Mast)

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Vi ringrazio ancora per l’invito. Il film è stato molto toccante. Una realtà raccontata con umanità e senza filtri, con attenzione ma senza sconti. Grazie ancora. Mi sento privilegiato ad aver potuto partecipare. Complimenti ancora.

Federico Donati Fogliazza

 

Je vous remercie encore pour l’invitation. Le film a été très touchant. Une réalité racontée avec humanité et sans filtres, avec attention mais sans rabais. Merci encore. Je me sens privilégié d’avoir pu participer. Félicitations encore.


(Federico Donati Fogliazza)

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Encore bravo pour votre film et toute votre magnifique démarche en amont. J’étais avec des amis et voisins italiens qui ont été très touchés et aimeraient vous rencontrer. La directrice de Tuttifrutti était aussi là et a adoré. J’étais contente de voir Aldo et Alessandro. Un peu court mais c’était bien d’échanger un peu avec eux. Une très belle surprise. J’espère vous voir bientôt, ne serait-ce que pour un petit café avant Noël. Je regarde mon agenda.

(Milena Bochet)

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Ciao Zia Natha e Zio Turi, tanti complimenti per il vostro bel film, così reale (duro) e ottimista a lo stesso tempo, con tanti momenti forti e poetici ! Insomma molto commovente, tanti baci.

(Maria Isasa)

Bonjour Tante Natha et Oncle Turi, tant de compliments pour votre beau film, si réel (dur) et optimiste en même temps, avec tant de moments forts et poétiques! En bref, très émouvant, beaucoup de baisers.

(Maria Isasa)

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Superbe film-documentaire  présenté ce soir au Vendôme de Bruxelles: L’ORO DEL CAMM INO. Sujet dur et difficile (drogue, criminalité, prison) traité avec finesse et poésie, au-delà des préjugés.
Tanti complimenti a Turi et Nathalie per il vostro gran bel film e grazie di aver ricordato Papà e Mamma
Beaucoup de compliments Naturi pour votre grand film et merci d’avoir rappelé Papa et Maman

(Domenico R. di Valdalbero)

Très chers Nathalie et Turi, un tout grand merci !
Votre film m’a embarquée mercredi soir dans une bulle spatio-temporelle dont je n’avais pas envie de m’extraire trop vite. Raison pour laquelle nous avons filé à l’anglaise après la projection.
Une fois de plus, j’ai été touchée, comme d’ailleurs par chacun de vos films que j’ai vus, avec cette fois encore plus d’intensité. Probablement par le sujet que vous abordez et sûrement par le fait de me retrouver après plus de 30 ans (!) au Faito ! Maintenant que les chose ont un peu décanter, je voulais vous faire part de mes impressions (bien qu’encore diffuses et difficiles à exprimer)
Pour moi, l’Oro del Cam(m)ino ressemble à une toile impressionniste. Dans une lumière vibrante, une succession de petites touches de couleurs juxtaposées les unes à côté des autres laisse apparaître une communauté isolée au centre d’un paysage. C’est la proposition d’un nouveau regard, une nouvelle réalité dans laquelle le lien entre l’homme et son environnement devient en soi un sujet. Comme si là, tout était possible, l’horizon s’ouvre. Dans un « décors » dont on mesure toute l’envergure et les contrastes, des scènes de vie intime d’un quotidien hors du commun. Les portraits sont dépeints sans jugement ni aprioris. Les scènes captées sur le moment et livrées par bribes, comme des pièces de puzzle s’assemblent, laissant des vides, des silences, des respirations. Sous la légèreté du geste, la profondeur des sentiments. Le mouvement est lent, doux, suspendu au fil des saisons d’une nature omniprésente. Le Faito. Majestueux ! Dès les premières images, j’ai ressenti l’odeur de la forêt, le chant des oiseaux, le silence, la brume. Les vues à couper le souffle ! La baie de Naples, la ville le soir du nouvel an (époustouflant !), la montagne en champ, contre champ. Naples, le Vésuve, la mer, la cime des arbres, l’horizon, les sous-bois …. La beauté de la nature face à la complexité de la vie. Et inversement. Vous traitez ce sujet dense, dont on ressent toute la dureté et la violence de manière sous-jacente, presque subliminale, avec une grande dose d’humanisme. Pudeur, tendresse et compassion. Encore une fois merci pour ces images, ces visages et ces mots qui vont probablement faire encore un bon bout de chemin …
J’espère qu’on aura l’occasion d’en reparler très vite.
Je vous embrasse. A tout bientôt

(Pascale Gastout)

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Oui, c’est beau et c’est de la musique et du son, et des images et très fort émotivement surtout en pensant à Ciro… Felicity aimerait beaucoup qu’on voit où qu’on aide sa femme et sa fille. Vous auriez leur contact?
Grazie per questa Meraviglia e anche io ringrazio Turi per aver ricordato papà e mamma

Bénédicte Mancini

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Hello Nathalie,
Ce petit message pour te dire que j’ai apprécié votre documentaire comme disait un des producteurs avant la projection plein d’humanité.
J’ai surtout aimé les moments de danse en duo, la fille et le toxicomane et l’association avec le chien qui court en rond.
L’apparition du cheval sur la route.
Elisa et ses petits sachets de parfums différents.
Et bien sûr les témoignages touchants de certains toxicomanes.
Avant la retraite, il faudra penser à faire un autre beau documentaire.
Bisous

(Liliane Sanchez)

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Respirer.
Et marcher, droit, marcher, vacillant, marcher, tortueusement, hasardeusement, cheminer, au-dessus du vide, poétiquement, sous le ciel étoilé, les pieds foulant les routes du monde.
Tu le sais, je prétends n’avoir « jamais » de regret.
Et pourtant, aujourd’hui, j’aurais tellement aimé avoir le temps d’être-là avec vous, Alessandro, Aldo, Turi et toi, pour nous promener dans Bruxelles.
Comment te remercier pour la manière dont tu m’as accueilli sur la scène, hier soir ?
Ce que tu as dit pour présenter la façon dont nous nous sommes accompagnés durant sept ans autour du film est gravé pour jamais dans ma mémoire.
C’était un bonheur d’une rare puissance que de vivre cette projection avec les miens, et je vous en suis infiniment reconnaissant d’avoir rendu cela possible.
(…) A partir de cette question que nous pose le documentaire sur le rapport à la drogue, de la dépendance à cette substance dont nous parlent les résidents de la communauté thérapeutique, ne s’agit-il pas de nous interroger, dans leur sillage, sur nos propres manques, nos angoisses, nos gouffres, nos souffrances les plus intimes, mais aussi, malgré tout, nos communes possibilités de guérison, d’émancipation et de résistance à toutes les formes d’aliénation qui nous étouffent et nous gâchent le bonheur d’exister ? A mes yeux, L’Oro del Cam(m)ino témoigne de cette recherche d’une alternative à l’ordre des choses pour prendre soin de la fragilité de la vie, de toutes les vies, avec une poésie et un sens de l’humain qui fait la valeur des œuvres authentiques.

(Elias Preszow)

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Coucou Turi, je suis partie un peu vite j’avais un dîner à la maison. J’ai adoré le film c’était vraiment très beau et très touchant et ça l’est d’autant plus que c’est des lieux sur lesquels j’ai pu aller et certaines personnes à qui j’ai pu parler. 
Merci pour ce film 🙂

(Camille Moucheron)

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(…) Ces quelques lignes pour vous remercier encore une fois de nous avoir donné accès à la projection de mercredi passé, en dépit du délai de réponse largement dépassé, à l’occasion de l’avant première de votre Cam(m)ino d’Oro.
Je tiens à vous féliciter du triomphe obtenu auprès de la salle, largement mérité, pour un film dont je suis ressorti bouleversé, comme beaucoup d’autres, mais peut-être pas entièrement pour les mêmes raisons.
Bien sûr, comme celles et ceux qui ont témoigné après la projection, j’ai été grandement touché par l’humanisme qui se dégage de votre film. Il faudrait vraiment être bien cynique ou bien désespéré pour ne pas le prendre en plein cœur.  Mais ce qui a été très peu mis en valeur par la salle et que je retiens ici, ce sont les qualités cinématographiques et esthétiques du film, tout aussi remarquables que ses valeurs morales.
Je pense ici :
– à la bande son, riche, scintillante et travaillée, 
– ou à la composition puissante de certains tableaux qui suscitent mille métaphores (par exemple pour cette scène de cuisine où Padre Pio couve de son regard ce monastère d’un genre nouveau, qui fait vivre un autre type de fraternité, ou bien pour le plan séquence en contre-plongée où un homme dépouille un arbre de ses branches excédentaires, avec toute la symbolique que cela permet), 
– ou aux plans de coupe de forêt, qui viennent ponctuer le film et lui apporter de l’intériorité (joli paradoxe).
Merci également pour la lenteur de la narration, qui suit et fait écho à celle des travaux de la terre, eux aussi particulièrement soignés.
Merci enfin pour l’art du portrait psychologique qui s’imprime en filigrane à travers :
– La philosophie de la vie de Luigi, penseur grec sorti de l’Antiquité (quand Naples n’était pas encore Napule, mais qu’elle s’appelait Parthénope) et transporté dans la Campanie du 21e siècle,
– Le rapport d’Alessandro à l’écriture, qui démontre cruellement qu’une éducation plus bourgeoise et des études plus avancées donnent vraiment davantage de moyens d’action,
– La colère puissante qui part des entrailles de Lodovico (cet homme semble avoir subi tant d’injustices), et qu’il sublime dans la danse,
– Ce personnage muet au regard troublé (s’appelle-t-il Pasquale comme l’indique son grand tatouage ?) qui se tient debout comme un vivant reproche, chancelant, perdu, défoncé, qu’on voudrait à la fois consoler et secouer,
– La beauté des corps qui profitent du soleil après la piscine. Pas le même plaisir que celui que procure « la sostanza » mais pas si lointain,
– La rédemption et puis la chute de Ciro, dont la drogue n’a pas encore altéré les traits d’enfant
– La fragilité de ce Giuseppe qui a besoin de sa maman, et qui montre les limites du machisme méridional,
– etc., etc.
Bref, ce Cam(mi)no met le spectateur en contact avec du grand cinéma, et j’espère sincèrement que votre film pourra trouver son public en dépit des difficultés de distribution évoquées avant la projection.
Je me suis permis de mettre Maïlys en copie de ce message, parce que si mon métier me permet souvent de rendre des parents fier.ère.s de leur enfant (c’est facile : les élèves de Saint-Luc sont formidables), il est vraiment beaucoup plus rare d’être en situation de rendre un.e élève fier.ère de ses parents, et que je ne voulais pas résister au plaisir de saisir cette occasion.

(Dimitri Jamsin, Directeur de l’Institut St Luc

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Des précédentes projections (20 et 21 novembre – Liège et Namur (Les Grignoux)

« Les cinéastes glanent des expressions et silences qui ne laissent pas indifférents, mettent à jour des cicatrices intérieures, écoutent ces hommes « détenus » parler de leur passé et de leur vie une fois « dehors ». La proximité avec ces personnes « en marge » de la société crée rapidement une intimité permettant de comprendre que le passage par la case prison s’explique par plusieurs facteurs, et que l’objectif de tous n’est autre que de retrouver une vie meilleure.
Les résidents sont donc confrontés à un travail introspectif via l’art thérapie, des groupes de parole, une vie en collectivité : une approche portée par ce centre de rééducation
thérapeutique qui démontre qu’en s’adaptant aux besoins des personnes détenues et dépendantes, le processus fonctionne.
Une approche qui méritait bien d’être mise en lumière pour que le modèle inspire, s’exporte et tende à aider d’autres personnes détenues à se libérer. »

(Bérangère Sommaruga des Grignoux)

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Bonsoir Nathalie, Turi,

Nous voudrions vous remercier vivement de nous avoir fait partager l’expérience vécue dans ce centre d’encadrement de détenus.
Votre témoignage est poignant et ouvre une voie alternative aux prisons et centres de détention classiques, voie plus humaine et de ce fait plus efficace.
Nous espérons vivement que ce témoignage finisse par accéder au grand public et qu’il bénéficie d’une distribution adéquate.

Anne et Wissam Teunenes

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Mes chers amis,

je suis tellement émue que je suis sûre de ne pas bien parler du film que je viens de regarder. 
Énorme travail….. Christique presque….Votre chaleur humaine et le talent a enveloppé l’existence errante  pour lui donner un sens; Tâche difficile vous y êtes arrivés, en Beauté.
Merci infiniment de m’avoir permis de découvrir ce film, avec vous. 
Vous, deux mes amis, vous êtes à l’image et en conséquence de ce que vous dites de ce que vous faites et de ce que vous filmez. Vous avez trouvé une nouvelle fan du film !
Bravo bravo bravo… et les discussions sur le langage cinématographique pour plus tard… Je pensais à Piepaolo….serait-ce peut-être la poésie?  
MERCI

Bonita Papastathi, monteuse